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4 Formules Magiques Simples pour Écrire un Article de Blog Envoûtant

Vous y êtes. Votre blog est lancé. Les informations principales sont publiées et vous vous apprêtez à rédiger votre premier article. Cependant, quelque chose vous bloque. Vous avez beau connaître votre sujet sur le bout des doigts, le doute vous envahit. Par où commencer ? Comment structurer mes idées ? Que vont penser les internautes ? Tant de questions par lesquelles je suis aussi passée… 

Allons, ne soyez pas contrarié(e), votre contenu ne sera pas parfait du premier coup. Acceptez  simplement de vous lancer, c’est ce qui vous permettra de progresser. 

Vous connaissez J.K Rowling, l’auteure de la saga à succès Harry Potter ?

Probablement.

Mais saviez-vous qu’avant la diffusion de ses livres, son travail a été refusé par un grand nombre d’éditeurs ? 

Quand j’y pense, ils doivent très certainement s’en mordre les doigts aujourd’hui…

Oh non. Ils doivent même ne plus en avoir du tout, en fait. 

D’après J.K Rowling :

Il est impossible de vivre sans ne jamais échouer, sauf si tu fais tellement attention, que tu ne vis pas du tout. Dans ce cas, tu échoues par défaut.

J.K ROWLING

Si l’on en croit son précieux conseil, inutile de vous dire qu’il est grand temps de vous lancer sans attendre que la magie intervienne. Pour que vos écrits ensorcellent, il va falloir faire comme Harry Potter et accepter de passer par le stade d’ « Apprenti Rédacteur ». 

Allez, on sort les vieux grimoires et les baguettes magiques. 

Dans cet article, je vous livre 4 formules qui vous permettront de faire briller cette petite lueur dans les beaux yeux de vos lecteurs.


1. Maîtriser l’enchantement des balises html

Balise Title et Balise H1 : quelle différence ?

Commençons par le commencement et parlons structure. Pour qu’on soit tous au clair sur ce qu’est une bonne structure d’article, revenons-en aux bases. 

Tout d’abord, attaquons-nous à la balise H1

(Je vous arrête tout de suite, il ne s’agit pas d’une molécule bizarre que l’on retrouve dans les potions de Dumbledore…)

La balise H1 correspond au titre de votre article. Vous savez, celui qui apparait tout en haut de votre page.

À la différence de la balise H1, la balise TITLE est directement visible dans les résultats de recherche de Google. Elle doit donc être copywritée. Cela signifie qu’elle doit être optimisée pour donner aux internautes l’envie de cliquer.


Sachez que les verbes à l’infinitif envoûtent davantage les lecteurs. Quand on y réfléchit, il est vrai que la plupart de nos requêtes sont formulées de cette manière : « comment choisir son balai volant ? », « assommer un troll en 4 minutes », « comment dire je t’aime à un moldu ? »… On privilégiera donc l’infinitif pour fortifier ses balises TITLE.

Mais entendons-nous bien. Ce n’est pas non plus une raison pour écrire n’importe quoi dans la balise H1. Soyez cohérent dans le choix de vos mots-clés et restez concentré sur votre champ sémantique.

Dans les images présentées ci-dessus, nous pouvons observer que la rédactrice a fait le choix de rédiger une balise H1 différente de la balise TITLE. Cependant, vous pouvez afficher le même texte dans les deux balises. Comme je vous l’ai expliqué un peu plus haut, il faudra simplement veiller à ce que votre TITLE soit copywrité.

Balises H2, H3, H4 : les poupées russes de la rédaction

De son côté, la balise H2 est à considérer comme un « sous-titre ». C’est elle qui permettra de structurer votre article en plusieurs parties distinctes

Si vraiment l’article est trop long et que beaucoup d’idées sont à développer, on ajoutera également des balises H3, H4 ou H5, de manière à éviter les pavés indigestes. 

Toutes ces balises sont à considérer comme des « intertitres » et ont le même système que les poupées russes. Autrement dit, leur niveau de précision doit être de taille décroissante.

Des sous-titres et intertitres ensorcelants :

Voilà ce que vous devez comprendre :

La poupée H1 décide d’exposer son problème aux poupées H2. En toute bienveillance, les poupées H2 lui apportent des solutions avec le sourire. 

Oui oui, vous avez bien lu. Avec le sourire.

Ce que je veux dire par là, c’est que vous devez opter pour des sous-titres alléchants. Je ne veux pas voir de sous-titres tristounets qui osent à peine se manifester. 

De leur côté, les poupées H3 appuieront les poupées H2 en apportant un nouveau seuil de précision. Et ainsi de suite.

Bien-sûr, il faudra proposer des sous-titres et intertitres présentant une structure commune pour un rendu plus harmonieux.

Parlons peu, parlons bien. Je vous livre un exemple. 

La structure pourrie : au placard, avec les balais

Si vous devez écrire un article sur les balais volants, voici ce qu’il ne faut absolument PAS faire.

Ici, vous voyez bien qu’il n’y a aucune harmonie dans la rédaction des sous-titres.

Tout d’abord, la balise H1 n’est ni percutante, ni optimisée. De plus, les balises H2 ne présentent pas la même structure. Un coup, je commence par un verbe à l’impératif. Ensuite, j’affiche simplement une expression sans verbe. Et enfin, je pose un questionnement. 

Résultat ? L’architecture est totalement décousue et le lecteur est perdu. 

C’est ce qu’on appelle plus communément une bonne structure d’article pourrie.

La structure harmonieuse : sous la main, avec la baguette magique

Voici une structure d’article plus cohérente :

Dans ce cas, je commence chaque balise H2 par un verbe à l’impératif. Je conserve donc une même logique.

Cependant, vous n’êtes pas obligé de rédiger vos sous-titres avec des verbes à l’impératif. J’aurais aussi très bien pu écrire :

Ici, je privilégie une structure concentrée autour des caractéristiques du balai volant en bannissant totalement les verbes de mes H2 et de mes H3.

Je pense que vous l’avez compris mais l’objectif est de garder votre lecteur en haleine

Si vos sous-titres partent en cacahuète, il est fort probable que votre lecteur parte lui aussi.  

Côté Google, faites en sorte de placer de précieux mots-clés dans vos H2 en priorité.  Côté lecteur, veillez à bien conserver la même structure pour vos balises sémantiques.

Et voilà, le tour est joué ! 😉 

Les balises ul li : l’étagère à mots

À la différence des autres, les balises ul li sont les seules qui vous permettront de créer des listes à puces

À l’image d’une bonne vieille recette de potion magique que l’on retrouve dans les vieux grimoires d’Hagrid, les listes à puces vous permettront d’énumérer de longues séries d’ingrédients (ou de tout autre chose d’ailleurs).

Rappelez-vous.

Les paragraphes interminables peuvent avoir tendance à lasser votre lecteur. Les listes à puces, elles, permettront de sublimer vos propos tout en structurant l’aspect visuel de votre article. De plus, elles garderont votre lecteur intéressé en lui proposant une mise en forme différente, qui se lit facilement et rapidement.


2. Parsemer son article de mots enchantés

Vous l’avez sûrement entendu une ribambelle de fois mais pour rédiger un bon article de blog, il faudra penser SEO.

Ok, mais c’est quoi au juste le SEO ? Un nouveau mot de passe pour pénétrer dans la Chambre des Secrets ? 

Non non non. Le SEO est l’acronyme de « Search Engine Optimization », qui signifie en français : « Optimisation pour les Moteurs de Recherche ». 

Dans la langue de Molière, nous parlons plus communément de « référencement naturel ».

Et qu’est-ce qui est à l’origine du SEO à votre avis ?

Les contenus textuels. C’est un fait.

Le succès des sites web est plus que jamais indexé sur la qualité de leur contenu. Il suffit de prendre l’exemple de Wikipédia. Malgré ses graphismes dépouillés, il reste l’un des sites les plus visités au monde

Pourquoi ? 

Sa richesse textuelle. Elle fait toute la différence.

Produire du contenu de qualité, qu’il soit de divertissement ou d’information, c’est LE critère de réussite d’un site web. Alors, avoir recours aux mots-clés à forte valeur ajoutée est primordial.

Mais si seulement c’était aussi simple…

Vous avez certainement déjà du faire face à cette situation : imaginons que vous deviez rédiger un article sur les compléments alimentaires. 

Naturellement, vous glissez ces mots-clés dans votre titre, vos sous-titres et différents paragraphes

Seulement voilà. L’expression « compléments alimentaires » est déjà ultra compétitive

Et là patatra. Impossible d’implanter votre article sur cette requête, face à des mastodontes du domaine.  

Ne partez pas si vite… J’ai une potion magique pour vaincre ce sortilège. Il s’agit de … 

(roulements de tambour) 

L’EMPATHIE !

Et oui, un peu d’humanité dans ce monde de brute n’a jamais fait de mal à personne. 

Pour trouver ces mots-clés explosifs et ultra-puissants qui vous permettront de toucher le coeur de vos lecteurs, il va falloir faire preuve d’imagination. 

Allez, c’est partiii !

Leçon numéro 1 : Comprendre le Moldu pour deviner les requêtes de vos lecteurs

Lister les problèmes de son lectorat

Tout d’abord, intéressons-nous à notre lectorat. Je sais, cela peut paraître compliqué au début mais je vous assure que cette technique fonctionne à merveille. Mettez-vous d’abord dans la tête de votre internaute et posez-vous les questions suivantes :

  1. Pourquoi vient-il sur mon blog ?
  2. Quels problèmes rencontre t-il ? 
  3. Quels mots-clés inscrirait-il dans son moteur de recherche pour résoudre ses problèmes ? 

Admettons que vous teniez un blog féminin où vous échangez avec vos lectrices toutes vos astuces beauté. D’après les derniers commentaires postés par votre audience, vous vous apercevez que beaucoup d’entre elles présentent de sérieux problèmes d’acné, qu’elles peinent à résoudre. 

Ça y est, vous venez de mettre le doigt sur un véritable fléau. 

Donc forcément, si vous leur apportez une solution (qui marche), je n’ai pas besoin de vous dire que vous serez considérée comme la bonne fée des astuces beauté.  

Deviner les requêtes des internautes pour résoudre un problème

Pour les aider au mieux, mettons-nous quelques secondes dans la tête de ces lectrices et imaginons ce qu’elles pourraient inscrire dans leur moteur de recherche.

Procédons à la formulation de leurs requêtes :

éliminer acné, solution pour peau à problème, soins naturels acné, routine anti-acné, soigner acné naturellement, traitement naturel acné, nettoyer peau acnéique, phytothérapie acné, soigner l’acné par les plantes, lutter contre l’acné et les boutons, crème anti-acné, traitement efficace acné, etc. 

Voilà, cela me semble pas mal pour commencer. 

Avant la rédaction de chaque article, efforcez vous d’élaborer cette liste de mots susceptibles d’être utilisés par vos lecteurs pour formaliser leurs requêtes. Conservez-la précieusement et parsemez vos paragraphes de ces idées enchantées. Vous verrez la différence. 

En utilisant des mots-clés spécifiques, que l’on qualifie dans le jargon de « longue traîne », vous ciblerez davantage les contrariétés de vos lecteurs et attirerez d’autres internautes présentant les mêmes problèmes. Autrement dit : du trafic qualifié.

Aujourd’hui, un grand nombre de requêtes longues et précises peuvent représenter un potentiel non négligeable.

Alors n’oubliez pas.

Ce sont « les petits petits ruisseaux qui font les grands rivières »

Leçon numéro 2 : Décrypter les suggestions de Google

J’espère que vous êtes toujours là. Car j’ai plus d’un tour dans mon sac. 

Je vous présente une deuxième méthode très facile pour apprendre à jouer les devins et trouver des mots-clés intéressants.

Maintenant qu’on a bien utilisé notre tête, voyons un peu sur ce que Google a dans le ventre. 

Par exemple, si je tape une requête spécifique telle que « soigner acné naturellement » dans la barre de recherche. Je tombe sur cette page.

Maaais… si je scrolle jusqu’en bas, voici les mines d’or que je peux découvrir : 

Il s’agit d’autres requêtes « longue traine » déjà recherchées par les internautes, servies sur un plateau d’argent.

Waaaaaw trop cool ! Merci Google. 

Leçon numéro 3 : Faire appel à un ami avec Answer The Public

Alors cet outil, c’est vraiment un truc de foufou. Vous connaissez le jeu télévisé  « Pyramide » ? Bon plus très sûre qu’il passe encore à la télé, m’enfin.

Answer The Public c’est un peu « Pyramide 2.0 ». Vous lui donnez un mot et pouf, il vous sort pleins d’autres mots-clés, synonymes et expressions magiques.  

Bon, bien-sûr. Tout n’est pas bon à prendre. Mais quand même. C’est une technique super rapide et efficace pour booster son auto-brainstorming.

Avec lui, vous allez pouvoir narguer les magiciens.  

Allez hop, même plus besoin de boule de cristal. 

Leçon numéro 4 : Ouvrir le dictionnaire des mots magiques

Aaaah on y vient. La leçon sur les mots magiques

Les mots magiques, ce sont ces mots qui sortent de l’ordinaire et qui permettront à coup sûr de maximiser l’impact de vos textes

En effet, ces expressions devancent haut la main les mots du quotidiens comme « petit », « peu » ou les verbes basiques du type « faire », « être » ou « avoir ». Tout ça, c’était bien joli à l’école. Mais maintenant c’est terminé.  Je veux des « pulvériser », « illuminer », « brillant », « gigantesque », « scintillant », « éclatant ». À eux seuls, ces mots matérialisent dans votre pensée une image bien plus puissante

Alors, retenez bien. En semant quelques graines de mots magiques dans vos articles de blog, vous : 

  • attirerez l’attention de votre lecteur qui n’aura qu’une envie : lire la suite de vos articles ;
  • produirez un contenu surpuissant, magnétique et à forte valeur ajoutée
  • susciterez de fortes émotions grâce à l’utilisation d’un langage sensoriel ;
  • vous démarquerez grâce à votre indomptable plume.

3. Rédiger une introduction envoûtante et une conclusion scintillante

Captivez votre audience avec l’introduction

Vous aussi vous peinez à attaquer la rédaction d’un article n’est-ce pas ? Comme je vous comprends… À l’heure où je vous écris ces quelques lignes, mon introduction n’est toujours pas rédigée. Mais ce n’est pas si grave.

Pourquoi ? 

Procéder à sa rédaction a le don de créer en moi le syndrome de la page blanche.

Généralement, les idées me viennent lors de la rédaction du corps de l’article. Le moment venu, je dégaine mon précieux cahier pour y apposer quelques notes.

Qu’est-ce qu’une bonne introduction ? 

Une bonne introduction doit poser le contexte de votre sujet. À sa lecture, le lecteur doit progressivement comprendre là où vous souhaitez l’emmener. Elle peut contenir une statistique marquante, une citation ou un fait. Pour résumer, elle doit interpeller votre lecteur. En journalisme, on parle de « chapô » dans lequel on répond aux questions suivantes  « Qui ? », « Quoi ? », « Quand ? », « Où ? ». Les réponses aux questions « Comment ? » et « Pourquoi ? » seront développés dans les paragraphes de l’article.

Pour que votre lecteur accepte de se laisser embarquer, votre introduction doit surtout être fascinante. Ses premières lignes doivent susciter son attention et lui donner l’irrépressible envie de lire la suite

Dans l’introduction de cet article, vous observerez que j’ai utilisé deux approches. J’ai commencé par jouer la carte de l’empathie en imaginant vos difficultés. Puis, j’ai contrebalancé votre fatalité avec une citation inspirante que j’ai resituée dans le contexte. 

Vous pouvez aussi démarrer une introduction avec une phrase choc, qui suscite la surprise. Il vous suffira ensuite d’étayer vos propos en attisant la curiosité de votre lectorat.

Émerveillez vos lecteurs avec les transitions

Dites-moi que vous aussi vous connaissez ça.

Au cours d’une sombre après-midi, vous tombez sur un blog plutôt sympa. Il est 15h37. 

Vous lisez un article, puis deux, puis trois… puis sept. Waaaw qu’est-ce qu’il rédige bien ce blogueur.

18h21. Vous poursuivez votre lecture, plein d’entrain. Attendez. 18h21 ???! 

Roh mais c’est pas vrai bon sang. Encore un dimanche de perdu. Décidément Tim Berners-Lee est contre moi !!!

S’il vous plait, dites moi que vous avez déjà vécu cette situation. 

Quand je vois le temps que je peux consacrer à la lecture d’articles en ligne, je me dis que certains blogueurs, rédacteurs web, ou encore copywriters ont forcément la magie au bout des doigts

Vous commencez votre lecture et pouf, c’est déjà la fin de l’article. 

Vous voulez connaître leur secret ? 

Les transitions

C’est ce qui rend leurs textes si fluides et plus magiques que jamais

PS : Si vous ne savez pas qui est Tim Berners-Lee, il faut tout de suite aller sur Google. 

Qu’est-ce que vous attendez ?

J’ai dit tout de suite. 

Faites preuve de morale et de pédagogie avec la conclusion

Comme dans les copies d’Hermione, pas question de rendre son devoir avant d’avoir rédigé une conclusion digne de ce nom. À la manière des contes de fées, on privilégiera une conclusion qui finit bien. Il n’est pas question de dégoûter votre lecteur d’avoir lu un article engageant, pour tout envoyer balader sur une note négative. 

Avez-vous remarqué que les conclusions avaient souvent une visée morale et éducative ?

Elle est l’occasion rêvée pour reformuler vos propos et rappeler les points essentiels de votre article. 

Et pour couronner le tout, on pensera bien-sûr à ajouter un CTA (Call To Action, en anglais). Cela signifie que l’on incitera son lecteur à réaliser une action

Il peut s’agir de :

  • publier un commentaire sous votre article ;
  • partager celui-ci sur les réseaux sociaux ;
  • répondre à une question énoncée à la fin de votre conclusion ;
  • proposer de s’inscrire à votre newsletter
  • inciter à poursuivre la lecture en renvoyant vers un autre article ;
  • faire part d’une promotion qui est sur le point de s’arrêter ;
  • etc.

Allez on poursuit, vous avez bientôt terminé. On reste accroché !


4. Saupoudrer ses lecteurs de poudre de passion

Au lycée, vous avez tous connu ce super prof’ de Biologie qui semblait être la parfaite réincarnation du grand génie Albert Einstein, n’est-ce pas ?  

En classe de Première, c’était votre professeur et avec lui, tout roulait.

Quelle fierté vous aviez en enfilant votre blouse blanche à ses côtés. Vous compreniez tout. 

Tout

Avec Monsieur Rivière, les TP de physique-chimie filaient à une vitesse ! Ses cours n’étaient pas des cours. Ses cours, c’était du grand spectacle

Il partageait avec vous sa passion et ses innombrables connaissances sur l’astrophysique. Les formules de chimie n’avaient plus aucun secret pour vous. Vous collectionniez les 17, 18. Arfff sans vous mentir, avec lui vous auriez probablement eu 20 au Bac. 

Seulement voilà. 

Le jour de votre rentrée en Terminale met fin à tout ces rêves. 

Muni de votre loupe, vous décryptez votre emploi du temps et là… tout s’effondre. Le nom d’un nouveau professeur de Biologie a fait son apparition sur votre planning. 

Terminées les explications et anecdotes captivantes. Chaque cours se succède et se ressemble. Vous perdez goût aux Sciences et Vie de la Terre. Votre moyenne chute et vous vous en sortez avec 9,75 au Bac. 

Quel gâchis… C’est moche.

Soyez passionnant

Alors en l’honneur de Monsieur Rivière, je vous demande chers lecteurs, de redoubler d’efforts pour être passionnant

Je vous entends susurrer : « oui mais comment qu’on fait au juste pour être passionnant ? »

C’est simple : parlez d’un sujet qui vous plait

Commencez par rédiger des articles autour de sujets qui vous tiennent réellement à coeur. De cette manière, l’écriture se transformera en moment d’exaltation. Cela se ressentira sur vos écrits et vous motivera plus que jamais à écrire plus, à affiner, à aller plus loin dans votre réflexion

Petit à petit, vous couvrirez tous les sujets de votre domaine et apporterez des solutions redoutables à chacun de vos lecteurs. Les internautes se diront : « Waaaw ! Incroyable ! On dirait qu’il me connait. » 

Oui, oui je te connais.

Prenez le temps de rédiger vos contenus, avec minutie, pédagogie et souci du détail. N’ayez plus peur d’écrire trop ou de donner trop d’exemples. Les lecteurs aiment avoir du concret et le sentiment d’apprendre quelque chose que peu savent. Alors, créez du contenu à forte valeur ajoutée et devenez la référence de votre thématique. Utilisez l’émotion pour rassembler une audience fan de votre contenu. Touchez votre lectorat en plein coeur pour qu’il n’ait plus qu’une envie : suivre TOUTES vos publications.

Et Abracadabra…

Bravo, vous avez terminé votre lecture. Maintenant, vous savez comment rédiger un article de blog comme un(e) pro et avec des méthodes simples, à la portée de tous.

S’il y a bien une chose sur laquelle je souhaite vraiment insister avant de vous laisser, c’est que pour écrire un article de blog, il ne sert à rien de penser SEO à tout prix. Pensez avant tout à vos lecteurs. Si vous gardez ce principe en tête et que les internautes raffolent de vos contenus, Google finira lui aussi par les aimer.

Écrire un article de blog de qualité demande rigueur et travail. Mais si vous prenez le temps d’appliquer ces quelques conseils, vos textes prendront de la hauteur et votre style rédactionnel s’étoffera au fil des mois. Ce long et fastidieux travail vous ennuie ? Vous pouvez aussi faire appel à une rédactrice web (ça tombe bien j’en connais une très motivée).

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